Apocalypse 12.11
Traduction Darby
Et eux l’on vaincu à cause du Sang de l’Agneau et à cause de la parole de leur témoignage; ils n’ont pas aimé leur vie, même jusqu’à la mort.
Luc 20.38
'Or il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants ; car pour Lui tous vivent. '
L’être humain prouve qu’il a une origine divine par son attitude face à la mort et par ses rites religieux. L’homme est un roseau pensant, illimité dans son esprit, assoiffé d’éternité, avide d’immortalité et sans cesse en quête de vie. Cependant, il est frustré par une fin incompréhensible qu’il ne peut éviter. Cette dure réalité suscite la colère qui se traduit de plusieurs façons: d’abord, le refus de l’idée de la mort, comme le montre la formule suivante tirée d’une rubrique nécrologique: Aimant trop la vie pour s’attacher aux rites de la mort, Mr X. refuse toute forme d’hommages après son décès . À l’opposé, certains, surtout dans les pays latins, veulent se prolonger au-delà la tombe par toutes sortes de cérémonies et de monuments dont nos cimetières sont des expositions constantes.
Cette mort à laquelle je ne peux échapper me rend conscient de ma finitude de façon brutale. Je peux ignorer tant que je veux le message du vieux prédicateur, je peux réfuter avec force tous les enseignements des Textes Sacrés et me moquer sans retenue de ses avertissements, je peux faire comme si la Parole de Dieu ne m’était pas adressée et rejeter le Sauveur en l’ignorant. Mais comment vais-je me débarrasser du vieux prédicateur qui, indifférent aux événements ou aux opinions des hommes, continue avec le même message depuis des milliers d’années? Comment puis-je l’arrêter dans ses voyages et éviter qu’il ne vienne frapper à ma porte? L’homme né de la femme, il naît, il est coupé comme une fleur. Il fuit, il disparaît comme une ombre. Un arbre a de l’espérance. Quand on le coupe, il repousse. Mais l’homme meurt et il perd sa force. Ah! Si l’homme mort pouvait revivre! (Job 14.1, 2, 7, 10).
Je sais que mon rédempteur est vivant. Quand ma peau sera détruite, quand je n’aurai plus de chair, je verrai Dieu et il me sera favorable. De mes propres yeux je le contemplerai. Ah mon cœur se consume d’attente au fond de moi! (Job 19.25-27).
Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui place toute sa confiance en Moi vivra même s’il meurt. Notre cité à nous est dans les cieux d’où nous attendons comme Sauveur le Seigneur Jésus Christ qui transformera notre corps misérable pour le rendre semblable à son corps glorieux par le pouvoir qu’il a de tout soumettre à son autorité (Jean 11.25; Philippiens 3.20-21).
Dans la perspective de la vie après la mort, les patriarches Abraham, Isaac et Jacob, comme les croyants de l’Ancien Testament, ont manifesté concrètement leur foi aux promesses de l’Éternel et leur espérance en la vie éternelle par leur désir d’être ensevelis en Palestine.
Tout compte fait, mon lieu de sépulture importe peu, puisque Dieu est suffisamment puissant pour me ramener à la vie, où que soient mes restes, sur terre, au fond de la mer ou dans le ventre d’un requin. Pour celui qui a mis sa confiance personnelle en Jésus-Christ, l’endroit où reposent ses poussières ou ses cendres n’a pas d’importance. En effet, tous les croyants décédés seront ressuscités et enlevés dans les airs pour y rencontrer le Seigneur Jésus-Christ. C’est leur espérance et leur vocation célestes. Dans le Nouveau Testament, l’apôtre saint Paul décrit cet événement qu’il appelle l’enlèvement de l’Église .
Je lis le passage:
Voici, en effet, ce que nous pouvons vous certifier en nous appuyant sur une parole du Seigneur: Au commandement de Dieu, sitôt que la voix de l’archange et le son de la trompette divine retentissent, le Seigneur en personne descend du ciel; alors ceux qui sont morts dans la foi en Jésus-Christ se lèveront les premiers. Après quoi, les croyants vivants restés sur terre seront enlevés avec eux et emportés à travers les airs, par-delà les nuées, pour rencontrer le Seigneur. Ainsi nous serons unis au Seigneur pour être avec lui pour l’éternité (1 Thessaloniciens 4.15).
Une telle espérance est le privilège de tous les vrais croyants, peu importe où se situe leur dernière demeure. Tous ceux qui ont reconnu en la personne de Jésus-Christ le Sauveur dont ils avaient besoin possèdent la vie éternelle.
Source:
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Ésaïe 25.8
Il engloutira la mort en victoire ; et le Seigneur, l’Éternel, essuiera les larmes de dessus tout visage, et il ôtera l’opprobre de son peuple de dessus toute la terre ; car l’Éternel a parlé.
Y a-t-il un purgatoire où les limbes?
Dans le catholicisme, les limbes (du latin imbus, « marge, frange ») sont un état de l’au-delà situé aux marges de l’enfer. Par extension, les limbes sont un état intermédiaire et flou.
Le 20 avril 2007, la Commission théologique internationale de l’Église catholique a publié un rapport consultatif sur la question, déclarant que « la volonté salvifique universelle de Dieu et la médiation corrélativement universelle du Christ signifient que toutes les notions théologiques qui, en définitive, remettent en question la toute-puissance de Dieu, et en particulier sa miséricorde, sont inadéquates ». Le concept de « limbes » comme état dans lequel seraient les enfants non baptisés est donc « une vision trop restrictive du salut », contraire à la nature même de Dieu, miséricordieux et sauveur et à la nature universelle du Salut. « L’idée des limbes, que l’Église a employée pendant des siècles pour désigner le sort des enfants qui meurent sans baptême, n’a pas de fondement clair dans la Révélation, même si elle a été longtemps utilisée dans l’enseignement théologique traditionnel. ». Cependant, cela demeure une opinion théologique possible.
Dogme ajouté en 1545 lors du concile dès 30
» Le purgatoire est un état après la mort où les âmes des défunts restent pour être aidées et libérées par des prières, des messes, où de bonnes œuvres. »
Fausses Doctrines des hommes
Il n’y a que deux endroits dans l’au-delà
1.Le Ciel
2.l’enfer
Matthieu 25.34;41
Source: shekinah972.com
Jésus-Christ délivre de la peur de la mort éternelle!
Je vous cite le verset de Jean 3.16: «Oui, Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en Lui échappent à la perdition et qu’ils aient la vie éternelle». Celle ou celui qui comprend l’œuvre de salut accomplie par Jésus-Christ à la Croix pour sa propre existence est délivré de sa crainte face à l’avenir et à la mort: Jésus-Christ est un parfait Sauveur et un Bon Berger, lisez Jean 5.24 et Jean 10.9-11.
Il est indéniable que Dieu, votre Créateur, vous aime profondément. En dehors de tout rite ou obligation, Il souhaite établir avec vous une relation véritable et transmettre en votre être une assurance certaine qui procure la paix du cœur et la sécurité personnelle concernant l’éternité. Cette relation s’établit en Jésus-Christ, selon ce que déclarait l’apôtre Pierre aux croyants du 1er siècle en parlant de Jésus-Christ, cf. Actes 4.12: «Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés».
La réalité de l’Enfer
La réalité de l’Enfer concerne tous les êtres humains nés de parents pécheurs et pratiquant eux-mêmes le péché hérité de leurs parents. La Parole de Dieu est très claire à ce sujet: «L’Eternel, du haut des cieux, regarde les fils de l’homme, pour voir s’il y a quelqu’un qui soit intelligent, qui cherche Dieu. Tous sont égarés, tous sont pervertis; il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul». Psaume 14.2-3.
Et si vous lisez Romains 3.9-12, vous découvrirez que l’apôtre Paul reprend ce texte du Psaume 14 écrit près de 1500 ans avant lui.
Le péché, manifesté par tant de fautes que l’être humain commet, condamne tout homme à l’enfer. Et ce n’est pas l’Eglise catholique ni quelque autre religion qui sauve l’être humain de l’Enfer…
Je vous souligne à nouveau ce verset de la Parole de Dieu exprimé par l’apôtre Pierre en Actes 4.12: «C’est en Jésus-Christ seul que se trouve le salut. Dans le monde entier, Dieu n’a jamais donné le nom d’aucun autre homme par lequel nous devions être sauvés».
La Parole de Dieu affirme que le salut de votre âme dépend de votre relation personnelle avec Jésus-Christ, Sauveur et Seigneur de celles et ceux qui se confient en Lui et compte sur la validité de Son sacrifice à la Croix pour le pardon de tous leurs péchés et leur réconciliation avec le Père céleste!
Examinez de près ces quelques versets de l’Évangile en lisant pour vous-même le chapitre entier dans votre Bible: Jean 3.16; Jean 1.12; Jean 3.36. Jésus-Christ a affirmé en Jean 17.17: «Ta Parole est la Vérité», voilà donc la source de notre salut: la révélation de Dieu aux hommes par Sa Parole inspirée du Saint-Esprit (cf. 2 Pierre 1.21) et transcrite par plus de 40 écrivains sur près de 3000 ans d’Histoire, à notre disposition en 64 livres bibliques.
Que Dieu se révèle à vous par Sa Parole et l’action de Son Esprit en votre cœur, qu’Il vous affermisse en Sa grâce et vous réjouisse par l’entière sécurité qui réside en LUI pour la vie ici-bas et ensuite auprès de LUI dans l’éternité. Rien ne peut nous séparer de Jésus, ni du Père céleste selon les paroles de Jean 10.27-29.
Source: Pierre-Alain Etienne
https://www.bible-ouverte.ch/faq/faq-theme/qr-premiers-pas/2732-reponse-317.html
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